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Alors que plus que jamais le Cameroun s'est lancé dans l'exploitation de son sous-sol, notamment à travers les projets des grandes ambitions inscrits dans le cadre du prochain septennat, la question de la transparence, plus que jamais d'actualité mondiale, se pose.
C'est dans le cadre de ce processus que la Cameroun a reçu les 11 et 12 juillet 2012 le chef du Secrétariat international de l’Initiative pour la transparence dans les industries extractives (Itie), Jonas Moberg. En effet, une forte pression s'exerce sur le pays. Le Cameroun n'ayant pas encore réussi à adhérer au statut de "pays conforme".
Le Cameroun a adhéré à l'ITIE en 2005. Depuis son adhésion, il publié 3 rapports entre 2001 et 2008. Ces rapports, selon le Conseil d'administration de l'ITIE avait des insuffisances, d’où la pression internationale qui pèse sur le pays actuellement. En effet, l'échéance du 13 août 2012 pourrait voir le Cameroun exclu de l'ITIE.
D’où le branle-bas de combat. Le 14 juin 2012, une session de sensibilisation a été organisée à l’intention des parlementaires, avec à la clé la proposition qu’une ligne budgétaire consacrée à la transparence soit inscrite dans la Loi des finances. « Je peux vous assurer aujourd’hui que la volonté politique du gouvernement est totale », confie Alamine Ousmane Mey.
L'ITIE est devenu un atout important pour tout pays en quête d'investisseurs. Le Cameroun devra nécessairement se plier à l’exigence de publier des données fiables sur la gestion de son sous-sol. Cela participe aussi de la nécessité de rendre compte à la population de la gestion des biens communs.
C'est dans le cadre de ce processus que la Cameroun a reçu les 11 et 12 juillet 2012 le chef du Secrétariat international de l’Initiative pour la transparence dans les industries extractives (Itie), Jonas Moberg. En effet, une forte pression s'exerce sur le pays. Le Cameroun n'ayant pas encore réussi à adhérer au statut de "pays conforme".
Le Cameroun a adhéré à l'ITIE en 2005. Depuis son adhésion, il publié 3 rapports entre 2001 et 2008. Ces rapports, selon le Conseil d'administration de l'ITIE avait des insuffisances, d’où la pression internationale qui pèse sur le pays actuellement. En effet, l'échéance du 13 août 2012 pourrait voir le Cameroun exclu de l'ITIE.
D’où le branle-bas de combat. Le 14 juin 2012, une session de sensibilisation a été organisée à l’intention des parlementaires, avec à la clé la proposition qu’une ligne budgétaire consacrée à la transparence soit inscrite dans la Loi des finances. « Je peux vous assurer aujourd’hui que la volonté politique du gouvernement est totale », confie Alamine Ousmane Mey.
L'ITIE est devenu un atout important pour tout pays en quête d'investisseurs. Le Cameroun devra nécessairement se plier à l’exigence de publier des données fiables sur la gestion de son sous-sol. Cela participe aussi de la nécessité de rendre compte à la population de la gestion des biens communs.
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